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Avatar de Perrine M.

Sujet important ! En tant que "proche" je trouve ma présence plutôt nécessaire car j'ai un autre angle de vue. Néanmoins je trouve important de laisser le patient libre de choisir et dans ce cas un entretien avec le proche doit se faire en aparté.

Par exemple mon fils tsa, tdah et trouble de l'humeur quand le pro lui demande comment il va il répond "très bien" alors que dans le quotidien ce n'est pas ce que je vois. Si on ne me permettait pas de donner mon avis on serait passer à côté...

Certains pro n'aiment pas la présence des parents..c'est dommage.

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Avatar de Rym I, PhD

Quand le secteur psychiatrique est surchargé, la communication avec la famille peut se faire en sens inverse : -"dites, ça fait combien de jours qu'il ne s'est pas présenté pour son injection d'anti-psychotique ?" ..."euh, on vous envoie l'équipe mobile". -"dites, vous n'auriez pas diminué la dose récemment ? ...parce que ça part en vrille"; "ah il vous dit qu'il gère ? Parce qu'en fait la famille est ruinée, la maman ne veut plus sortir, ni manger, ni se laver depuis des mois, elle sursaute au moindre bruit, et la maison est en chantier. Mais à part ça il gère, oui."

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