Merci pour cette discussion Live, dans cet élan de dé-babelisation c'est rafraîchissant et intéressant.
À propos de souplesse du professionnel du soin, J. McLaughlin, un psychanalyste américain, disait qu'il est important d'être vigilant à 3 types de points durs :
- le point bête : c'est cet endroit où je manque d'information. Par exemple, si je ne suis pas formé aux effets secondaires des psychotropes, je ne vais pas correctement évaluer le sens d'une éventuelle prise de poids d'un patient.
- le point aveugle : c'est cet endroit de moi où je ne suis pas au clair avec moi-même. Et je risque de projeter sur l'Autre un truc qui m'appartient.
- le point rigide : c'est cet endroit où je m'arqueboute sur ma théorie au point de vouloir faire entrer l'Autre dans cette théorie, au lieu de chercher le modèle théorique qui permettra le mieux de comprendre ce que vit l'Autre.
Votre intervention commune et vos interventions individuelles dans vos substack respectifs contribuent à assouplir des points bêtes et des points rigides. Merci donc.
Je ne connaissais pas ces points bête/aveugle/rigide, c'est une grille de lecture intéressante !
Sur le point rigide, ça me rappelle une vieille - on doit pas être loin des 100 ans maintenant - remarque de Maslow : quand le thérapeute n'a qu'un marteau, tous les problèmes tendent à ressembler à des clous :)
Je trouve que c'est le paradigme le plus intégratif et cohérent en psycho et sciences de la vie car ces deux qualités permettent le monisme théorique et épistémologique
L'ACT et la science comportementale contextuelle ciblent explicitement le VSR. Plus largement, toute thérapie qui influence fonctionnellement et efficacement ces variables est cohérente avec les principes VSR.
Mince, je suis pourtant formée à ACT et je n'ai pas entendu parler de ça... dans aucune source... vous auriez un lien quelconque ou source qui explique ?
Jean-Louis Monestès contribue à la diffusion de ce paradigme. Il tient un blog très bien fait. On y trouve des ressources et une biblio sur le VSR de mémoire.
Ok merci ! Bon en plus il me semble bien que je suis passée par la même fac que lui, on doit donc avoir eu en commun le prof qui m’a fait découvrir la psycho comportementale 😊 avec quelques années d’écart. Il faut donc au moins que je fasse honneur à cet enseignement !
1) la thérapie interpersonnelle : une thérapie peu connue en France(meme parmi les psychologues), qui se base sur la théorie de l’attachement de bowlby ET qui est une des 4 psychothérapies recommandées par l’oms dans la dépression
2) l’effet dodo
3) la différence entre psychologue psychothérapeute psychiatre d’un côté et psychopraticien, coach en santé mentale de l’autre (dans mon expérience, même les médecins et psychologues ne sont pas toujours au taquet là dessus)
4) la thérapie des schémas (mais du coup on est déjà dans de la thérapie intégrative )
Je suis pas assez bon en DBT pour savoir si la partie interpersonnelle de cette thérapie recoupe les mêmes notions que la TIP. Mais le gros gros avantage de la TIP, c’est sa simplicité : on peut la proposer aux patients en EHPAD ou aux ados, ce qui est toujours plus compliqué avec les TCC classiques
Elle est très interessante cette vidéo ! Surtout la fin merci ☺️ moi aussi j’essaye de de fusionner de mes pensées mais parfois c’est un peu difficile… j’aime beaucoup les vignettes de la psy du soleil aussi : celle sur l’ACT est top, tout comme Métamorphose le podcast avec l’intervention de JC Seznec et la semaine passée l’intervention de Vincent Estillon dans Cairn sur les états limites - n’évoque pas la TCC mais sa façon d’envisager le trouble, son origine est intéressante . Merci pour vos apports enrichissants et accessibles !
Je suis en fac de psycho, en L2. Et effectivement je constate une opposition revendiquée entre les tenants de l’approche neuropsy/Tcc d’une part et les tenants de l’approche psychanalytique/phenomenologique d’autre part (du moins pour la clinique). Dès la L3, il nous est demandé de faire un choix, ce qui me laisse encore pour l’heure dans l’embarras… je reprends des études sur le tard, et j’ai déjà un parcours thérapeutique perso orienté psychodynamique. J’étais persuadé que la psycho, c’était ça. Et là, je découvre toute la dimension scientifique, les bases organiques de certains troubles, les modèles cognitifs… wouah ! Je suis avide de tous ces savoirs, mais je n’ai vraiment pas envie de choisir ! Je me demandais donc, et ma question s’adresse plutôt au psychologue, s’il valait mieux choisir un parcours universitaire en psycho dynamique complété par des formations pro en TCC ou un parcours en neuropsy (puisque c’est l’option scientifique qui m’intéresse le plus) complété par des formations pro psychodynamiques… et si c’était possible de faire tout ça en même temps, à y être, étant donné que je ne suis plus toute jeune…
Merci si vous pouvez éclairer un peu ma lanterne, et merci pour vos Substack enrichissants :)
Eh bien c’était bien cool de vous entendre tous les deux ! Merci notamment d’illustrer et de partager vos exemples de plasticité neuronale où devrais-je dire de flexibilité de vos réseaux 😉… j’aurais des tonnes de questions/réflexions (bref c’est passionnant) mais je m’arrêterai à une remarque en particulier.
Dans les cas de vécus traumatiques pendant l’enfance (qui est le domaine dans lequel je fais le plus de biblio sur pudmed essentiellement) la thérapie d’exposition prolongée, là EMDR et la DBT bien sûr sont les approches qui reviennent le plus … dans ces 3 approches il semble que la potentialisation a long terme des réseaux mnésiques se retravaillent et participent à la distinction entre : 1) symptômes/comportementaux consécutifs au stress intenses et croyances négatives d’eux-mêmes qui s’ancrent avec ces vécus et 2) comportements que s’approprient les patients en se définissant eux mêmes dans ce qu’ils voudraient devenir …
Bon elle était un peu longue cette phrase mais je veux bien vos avis sur ces approches …
Par ailleurs, la part de la psychoéducation me semble également assez importante … mais bon je ne suis pas clinicienne .. 😜
Oui, c'est une phrase longue, mais je crois que j'ai suivi :)
Si j'ai bien compris (une précaution oratoire importante 😁), ce que vous décrivez est décrit en psychologie comme les processus d'assimilation / accommodation.
Ben, c’est comme ça que j’ai cru le comprendre oui :
1) l’assimilation correspondrait à une phase de retraitement des informations enregistrées non plus comme sa propre personnalité mais comme des conséquences sur soi des violences vécues.
2) le changement de l’image de soi permettant ensuite de mieux s’adapter à son environnement sans sortir de sa fenêtre de tolérance, … et là ce serait l’accommodation ?
La précaution oratoire est d’autant plus importante de mon côté que je ne comprends pas toujours tout de ce que disent les psys😂😂🤦🏻♀️🤦🏻♀️…
L'assimilation, c'est la modification de l'info pour qu'elle soit traitable (= on modifie l'info pour qu'elle rentre). L'accommodation, c'est la modification de soi pour que l'info soit traitable (on modifie soi pour que l'info soit compatible et puisse rentrer).
Dans les deux cas, on a du mal à traiter ce qui s'est passé (c'est le principe du trauma, et toutes les épistémo sont d'accord pour le coup sur ce point). Donc pour que ça rentre, soit on modifie l'info, soit on se modifie soi.
Pierre Orban l'explique assez bien : "dans un premier cas de figure, la personne modifie l’information pour qu’elle soit compatible avec les croyances qui existaient avant l’événement. C’est ce qui est nommé l’assimilation. [...] Mais dans certains cas, l’information est si différente des schémas existants que la victime pourrait développer de nouvelles croyances sur elle-même ou sur les autres (Mc Cann et al., 1988). Ce second cas de figure est désigné par la notion d’accommodation."
Son bouquin est pas mal du tout, très accessible et pédagogique.
À propos d'approche psychodynamique anglo-saxonne, connaissez-vous "Psychoanalytic Diagnosis" de Nancy McWilliams ? C'est un bouquin de renommée mondiale, mais pas traduit en Français. À mon goût une pépite d'ouverture dans le dialogue qu'elle a engagé avec des praticiens du monde entier de différentes obédiences; posture humble, volonté de compréhension profonde, empathique des humains. Et elle écrit clair.
De réputation, je ne l'ai consulté qu'en diagonale (j'ai assez peu de goût pour les questions relatives à la personnalité, je le confesse). C'est typiquement à ce genre d'ouvrage que je pensais en décrivant l'approche psychodynamique anglo-saxonne, on est sur la même longueur d'ondes.
Merci pour cette discussion Live, dans cet élan de dé-babelisation c'est rafraîchissant et intéressant.
À propos de souplesse du professionnel du soin, J. McLaughlin, un psychanalyste américain, disait qu'il est important d'être vigilant à 3 types de points durs :
- le point bête : c'est cet endroit où je manque d'information. Par exemple, si je ne suis pas formé aux effets secondaires des psychotropes, je ne vais pas correctement évaluer le sens d'une éventuelle prise de poids d'un patient.
- le point aveugle : c'est cet endroit de moi où je ne suis pas au clair avec moi-même. Et je risque de projeter sur l'Autre un truc qui m'appartient.
- le point rigide : c'est cet endroit où je m'arqueboute sur ma théorie au point de vouloir faire entrer l'Autre dans cette théorie, au lieu de chercher le modèle théorique qui permettra le mieux de comprendre ce que vit l'Autre.
Votre intervention commune et vos interventions individuelles dans vos substack respectifs contribuent à assouplir des points bêtes et des points rigides. Merci donc.
Je ne connaissais pas ces points bête/aveugle/rigide, c'est une grille de lecture intéressante !
Sur le point rigide, ça me rappelle une vieille - on doit pas être loin des 100 ans maintenant - remarque de Maslow : quand le thérapeute n'a qu'un marteau, tous les problèmes tendent à ressembler à des clous :)
Haha ! J'aime bien. Je prends, merci !
Oui ! Je ne me souvenais plus de qui c'était ! merci !
Super intéressant effectivement ces 3 points de vigilance !
Agréable surprise d'entendre le VSR (variété, sélection et rétention) pour définir la flexibilité psychologique.
C'est un chouette paradigme, il gagne à être connu !
Je trouve que c'est le paradigme le plus intégratif et cohérent en psycho et sciences de la vie car ces deux qualités permettent le monisme théorique et épistémologique
Oui : c'est une posture loin d'être évidente, et peu de cadres de pensée le permettent.
Je ne connais pas, vous pouvez m'éclairer sur quelle forme de thérapie aborde ça ?
L'ACT et la science comportementale contextuelle ciblent explicitement le VSR. Plus largement, toute thérapie qui influence fonctionnellement et efficacement ces variables est cohérente avec les principes VSR.
Mince, je suis pourtant formée à ACT et je n'ai pas entendu parler de ça... dans aucune source... vous auriez un lien quelconque ou source qui explique ?
Jean-Louis Monestès contribue à la diffusion de ce paradigme. Il tient un blog très bien fait. On y trouve des ressources et une biblio sur le VSR de mémoire.
Ok merci ! Bon en plus il me semble bien que je suis passée par la même fac que lui, on doit donc avoir eu en commun le prof qui m’a fait découvrir la psycho comportementale 😊 avec quelques années d’écart. Il faut donc au moins que je fasse honneur à cet enseignement !
Sur le site flexibilité psychologique. Fr vous trouverez un dossier thématique dédié avec application clinique
Cool merci !
Psychothérapie intégrative for the wiiiin
Psychothérapie intégrative, pourquoi pas, carrément.
Ça pourrait faire un bon sujet ça tiens. Y aurait des choses à dire.
Ah bah pour le coup, j’ai plein d’idées de sujets en psychothérapie ^^
On prend : sait-on jamais, si ça nous inspire une bafouille ou deux :)
Avec plaisir.
1) la thérapie interpersonnelle : une thérapie peu connue en France(meme parmi les psychologues), qui se base sur la théorie de l’attachement de bowlby ET qui est une des 4 psychothérapies recommandées par l’oms dans la dépression
2) l’effet dodo
3) la différence entre psychologue psychothérapeute psychiatre d’un côté et psychopraticien, coach en santé mentale de l’autre (dans mon expérience, même les médecins et psychologues ne sont pas toujours au taquet là dessus)
4) la thérapie des schémas (mais du coup on est déjà dans de la thérapie intégrative )
la DBT intègre déjà beaucoup la thérapie interpersonnelle je trouve - sauf pour la partie deuil
Je suis pas assez bon en DBT pour savoir si la partie interpersonnelle de cette thérapie recoupe les mêmes notions que la TIP. Mais le gros gros avantage de la TIP, c’est sa simplicité : on peut la proposer aux patients en EHPAD ou aux ados, ce qui est toujours plus compliqué avec les TCC classiques
Elle est très interessante cette vidéo ! Surtout la fin merci ☺️ moi aussi j’essaye de de fusionner de mes pensées mais parfois c’est un peu difficile… j’aime beaucoup les vignettes de la psy du soleil aussi : celle sur l’ACT est top, tout comme Métamorphose le podcast avec l’intervention de JC Seznec et la semaine passée l’intervention de Vincent Estillon dans Cairn sur les états limites - n’évoque pas la TCC mais sa façon d’envisager le trouble, son origine est intéressante . Merci pour vos apports enrichissants et accessibles !
Je suis en fac de psycho, en L2. Et effectivement je constate une opposition revendiquée entre les tenants de l’approche neuropsy/Tcc d’une part et les tenants de l’approche psychanalytique/phenomenologique d’autre part (du moins pour la clinique). Dès la L3, il nous est demandé de faire un choix, ce qui me laisse encore pour l’heure dans l’embarras… je reprends des études sur le tard, et j’ai déjà un parcours thérapeutique perso orienté psychodynamique. J’étais persuadé que la psycho, c’était ça. Et là, je découvre toute la dimension scientifique, les bases organiques de certains troubles, les modèles cognitifs… wouah ! Je suis avide de tous ces savoirs, mais je n’ai vraiment pas envie de choisir ! Je me demandais donc, et ma question s’adresse plutôt au psychologue, s’il valait mieux choisir un parcours universitaire en psycho dynamique complété par des formations pro en TCC ou un parcours en neuropsy (puisque c’est l’option scientifique qui m’intéresse le plus) complété par des formations pro psychodynamiques… et si c’était possible de faire tout ça en même temps, à y être, étant donné que je ne suis plus toute jeune…
Merci si vous pouvez éclairer un peu ma lanterne, et merci pour vos Substack enrichissants :)
Eh bien c’était bien cool de vous entendre tous les deux ! Merci notamment d’illustrer et de partager vos exemples de plasticité neuronale où devrais-je dire de flexibilité de vos réseaux 😉… j’aurais des tonnes de questions/réflexions (bref c’est passionnant) mais je m’arrêterai à une remarque en particulier.
Dans les cas de vécus traumatiques pendant l’enfance (qui est le domaine dans lequel je fais le plus de biblio sur pudmed essentiellement) la thérapie d’exposition prolongée, là EMDR et la DBT bien sûr sont les approches qui reviennent le plus … dans ces 3 approches il semble que la potentialisation a long terme des réseaux mnésiques se retravaillent et participent à la distinction entre : 1) symptômes/comportementaux consécutifs au stress intenses et croyances négatives d’eux-mêmes qui s’ancrent avec ces vécus et 2) comportements que s’approprient les patients en se définissant eux mêmes dans ce qu’ils voudraient devenir …
Bon elle était un peu longue cette phrase mais je veux bien vos avis sur ces approches …
Par ailleurs, la part de la psychoéducation me semble également assez importante … mais bon je ne suis pas clinicienne .. 😜
Oui, c'est une phrase longue, mais je crois que j'ai suivi :)
Si j'ai bien compris (une précaution oratoire importante 😁), ce que vous décrivez est décrit en psychologie comme les processus d'assimilation / accommodation.
Et si j'ai pas compris bah... désolé 😅
Je comprends mieux ! Merci merci ! C’est très très intéressant…. De quoi encore me faire quelques noeuds au cerveau ..
D’autant qu’il y a selon moi une homéostasie bien dynamique à trouver entre les 2…
et merci pour la référence, moi j’ai ça …
https://shs-cairn-info.acces.bibl.ulaval.ca/manuel-des-troubles-psychotraumatiques--9782100796342?lang=fr
Mais je n’ai pas encore tout lu… mon entrée reste celle de ma formation en biologie-physio et neurobio… 🤷🏻♀️
Ben, c’est comme ça que j’ai cru le comprendre oui :
1) l’assimilation correspondrait à une phase de retraitement des informations enregistrées non plus comme sa propre personnalité mais comme des conséquences sur soi des violences vécues.
2) le changement de l’image de soi permettant ensuite de mieux s’adapter à son environnement sans sortir de sa fenêtre de tolérance, … et là ce serait l’accommodation ?
La précaution oratoire est d’autant plus importante de mon côté que je ne comprends pas toujours tout de ce que disent les psys😂😂🤦🏻♀️🤦🏻♀️…
L'assimilation, c'est la modification de l'info pour qu'elle soit traitable (= on modifie l'info pour qu'elle rentre). L'accommodation, c'est la modification de soi pour que l'info soit traitable (on modifie soi pour que l'info soit compatible et puisse rentrer).
Dans les deux cas, on a du mal à traiter ce qui s'est passé (c'est le principe du trauma, et toutes les épistémo sont d'accord pour le coup sur ce point). Donc pour que ça rentre, soit on modifie l'info, soit on se modifie soi.
Pierre Orban l'explique assez bien : "dans un premier cas de figure, la personne modifie l’information pour qu’elle soit compatible avec les croyances qui existaient avant l’événement. C’est ce qui est nommé l’assimilation. [...] Mais dans certains cas, l’information est si différente des schémas existants que la victime pourrait développer de nouvelles croyances sur elle-même ou sur les autres (Mc Cann et al., 1988). Ce second cas de figure est désigné par la notion d’accommodation."
Son bouquin est pas mal du tout, très accessible et pédagogique.
https://shs-cairn-info.acces.bibl.ulaval.ca/psychotherapies-pour-trouble-stress-post-traumatiq--9782100836451?lang=fr
À propos d'approche psychodynamique anglo-saxonne, connaissez-vous "Psychoanalytic Diagnosis" de Nancy McWilliams ? C'est un bouquin de renommée mondiale, mais pas traduit en Français. À mon goût une pépite d'ouverture dans le dialogue qu'elle a engagé avec des praticiens du monde entier de différentes obédiences; posture humble, volonté de compréhension profonde, empathique des humains. Et elle écrit clair.
connu et lu - une référence en effet
De réputation, je ne l'ai consulté qu'en diagonale (j'ai assez peu de goût pour les questions relatives à la personnalité, je le confesse). C'est typiquement à ce genre d'ouvrage que je pensais en décrivant l'approche psychodynamique anglo-saxonne, on est sur la même longueur d'ondes.